Quatrième de couverture
"Par son humble épaisseur, le traité bienfaisant peut tenir dans toutes les poches et se glisser, discret, puissant et délassant, dans la
ceinture du pantalon, la manche du sari, la robe de Bédouin. Au moindre doute surgissant inopinément sur l'existence, il est là, à portée de la main reconnaissante. En un prompt regard, le
problème se voit résolu. [. ] Car il ne s'agit pas ici de vous fourguer un texte abscons sans queue ni tête qui se déviderait pêle-mêle au gré de la fantaisie de l'auteur.
Ce serait là un manque de charité et de bon sens contraire à l'objectif de cet opus : structure, clarté, concision et résolutions, tel doit être un bon traité des vérités de la vie. ".
Avis d’une lectrice du dimanche
Je l’avoue, mes pauvres petits neurones ont failli entrer en fusion, écrasés sous l’effort de cette lecture…
De digression en digression, j’ai vainement essayé de comprendre la pensée de Fred Vargas dans ce traité. Son style d’écriture est
époustouflant, vigoureux, pourtant cela n’a pas suffit à me transporter au cœur du sujet.
L’auteur nous assène quelques vérités sur la vie, mais j’ai égaré ces perles au milieu des métaphores multiples et décalées. Quelques explications se glissent entre les références à sa sœur, sa
mère, son frère, les vers de terre, les fourmis, une caisse à outils…
Je suis allée au bout de ce livre tout simplement parce qu’il ne faisait que 94 pages. Piètre argument n’est-ce-pas ? Voilà, au bout de 94 pages de maux de tête, j’ai rangé ce livre dans un coin de bibliothèque, d’où il ne ressortira pas de sitôt…
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