21 juillet 2009
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Quatrième de couverture
Jeté hors de chez lui par sa femme, loin de sa fille et renvoyé de son poste de professeur d'université, Harry Ricks n'a plus grand-chose à perdre. Réfugié à Paris, ses seules perspectives sont d'aller au cinéma et de tenir le plus longtemps possible avec ses maigres économies. Sans le sou, il découvre bientôt, lui l'intellectuel américain, une ville sordide, celle des marchands de sommeil, des clandestins et des combines louches. Aussi, quand il rencontre Margit, femme élégante et sensuelle, il plonge avec délice dans le jeu de séduction dont elle édicte les étranges règles. Un jeu troublant, plein de plaisirs, de mystères et, ce qu'Harry ignore encore, de dangers...
Avis d'une lectrice du dimanche
Un livre facile à lire, mais que j'oublierai très rapidement...
Le récit, dès le début parsemé d'invraisemblances , m'a tout de même tenu en haleine jusqu'aux trois quarts du livre. Puis soudain, j'ai vu la fin se profiler, tellement extravagante et peu crédible que je n'ai pas voulu y croire au départ ! Douglas Kennedy nous fait tout à coup entrer dans le champs du surnaturel de manière complètement incongrue.
Harry Ricks, Américain sympa, attire les ennuis comme un aimant : sa femme le chasse et lui interdit de voir sa fille, l'amant de sa femme lui tend plusieurs pièges sordides pour le chasser de l'Université où il enseigne, une petite amie étudiante se suicide... Il fuit à Paris, mais la poisse s'accroche à lui comme de la glu : des truands très méchants le pourchassent, des flics hostiles le harcèlent.
Déjà, vous l'aurez compris, je trouvais ce héros larmoyant un tantinet agaçant.
Enfin, la chance semble tourner en sa faveur. Une femme superbe le séduit et paraît vouloir son bien... Mais... Je vous laisse découvrir la fin qui m'a laissée abasourdie. Bon public, j'étais prête à admettre de nombreuses excentricités, jusqu'à un certain point !