Quatrième de couverture
La vie de Jérôme est ébranlée. L’amoureux de sa fille vient de mourir dans un accident de moto. Ordinairement imperturbable, il plonge dans une profonde agitation en tentant de gérer la crise. Bouleversé par des secousses successives, il doit se rendre à l’évidence : enfant sauvage recueilli dans les bois, il ne sait rien de lui-même et de ses origines. Il tente alors de se plonger dans son passé, guidé par un étrange mentor…
Avis d’une lectrice du dimanche
En lisant ce roman, j’ai été sensible à l’atmosphère particulière qu’Agnès Désarthes a sur créer. Mais finalement, que reste-t-il de ce roman une fois la dernière page tournée ?
Des thèmes très différents s’entrelacent dans ce livre, ce qui a fini par me donner une impression d'incohérence, un manque de consistance…
Jérôme, divorcé, vit seul avec sa fille Marina. Lorsque l’ami de sa fille décède dans un accident de moto, Jérôme peine à réconforter Marina tant il est lui-même enseveli par le chagrin. Un chagrin lourd dont il ne définit pas exactement l’origine. Il se livre à une introspection, démarche difficile dans la mesure où il se révèle la plupart du temps incapable d’exprimer ses sentiments.
Son passé refoulé s’impose à lui : il a été trouvé, seul, abandonné dans une forêt, et ses parents adoptifs se sont révélés des caractères étranges, complètement insaisissables.
Après un début très lent, tout semble s’emballer avec la rencontre d’un policier à la retraite et une touriste écossaise. Nous assistons à la
fois à une enquête pour meurtre et à une explication sur son passé.