Quatrième de couverture
A la saison des lucioles (hotaru), lorsqu'elle rend visite à sa grand-mère Mariko Takahashi, Tsubaki est loin de se douter que celle-ci lui confiera bientôt le secret qui ronge sa vie depuis cinquante ans, incapable qu'elle fut de le révéler à son mari. Etudiante en archéologie, Tsubaki apprend à travers cette confession les lois cruelles de la vie : l'innocence et la naïveté des jeunes filles sont souvent abusées par les hommes de pouvoir et d'expérience, et leur destinée s'en trouve à jamais bouleversée.
Avis d'une lectrice du dimanche
Le dernier tome de cette pentalogie est tout aussi beau que les autres.
Il est vraiment difficile de parler de ce livre sans en dévoiler trop ! Nous apprenons enfin les derniers secrets de la vie de Mariko Takahashi. Avant de s'éteindre, Mariko Takahashi se confie à sa petite fille Tsubaki. Cette confession ne sera pas vaine car elle permettra à Tsubaki de ne pas tomber dans le même piège que sa grand-mère et ainsi de mieux maîtriser sa vie, choisir son avenir.
Une impression domine lors de la lecture de ces 5 volumes : le Japon est une société très masculine dans laquelle les femmes ont du mal à se faire une place.