Quatrième de couverture
Oscar Drai, 15 ans, vit dans un pensionnat de Barcelone. Il sort souvent en cachette pour aller se
promener. Un jour, il pénètre dans une maison qui lui semble abandonnée et rencontre la jolie Marina. Ils deviennent amis. Désormais, tous les après-midi et le week-end, Oscar s'évade pour la
rejoindre.Ensemble, ils commencent à suivre une vieille femme entièrement vêtue de noir. Sans le savoir, cette dernière les mène dans un repaire étrange, truffé de marionnettes mutilées. Ils
retrouvent alors la trace d'un couple légendaire, Mijail et Eva Kolvenik, rencontrent un médecin, un policier à la retraite, un savant fou... Les voilà lancés dans une aventure inoubliable, qui
sera également celle de leur premier amour.
Avis d’une lectrice du dimanche
Une lecture touchante,
même si ce récit est moins abouti que dans son roman suivant, L’ombre du vent.
L’auteur nous transporte dans l’atmosphère mystérieuse de Barcelone grâce à un récit onirique et intemporel. Il fait revivre de vieux quartiers de cette belle ville, théâtre des aventures et de l’amour désespéré de deux jeunes adolescents, Oscar et Marina.
Il est difficile de résumer ce livre sans trop dévoiler les mystères qui le jalonnent !
Je suis toujours sensible à la poésie de Carlos Ruiz Zafon, et à ses romans gothiques. Mais je dois reconnaître que L’ombre du vent est le titre que je préfère largement. Marina et également Le jeu de l’ange, ne dégagent pas la même magie. L’auteur accentue trop le trait fantastique, ce qui a pour effet de caricaturer parfois de belles scènes…