Quatrième de couverture
Dans le Japon raffiné du XIXème siècle, le jeune Yuko a choisi sa voie : il sera poète, contre l'avis de son père. Soseki, l'ancien samouraï et vieux peintre aveugle, lui enseignera l'art du haïku.
Entre les deux hommes plane l'image obsédante d'une femme, disparue dans la neige...
Une langue épurée, concise et sans artifices, qui parle d'amour de la vie et de quête d'absolu.
Avis d'une lectrice du dimanche :
Les sonorités pures et sobres, ainsi que les belles images
qui naissent du texte de Maxence Fermine m'ont éblouie !
S'il avait suivi le chemin tracé par son père, Yuko aurait dû embrasser la carrière de guerrier, ou prêtre éventuellement. Mais il s'oppose à la volonté de sa famille en devenant poète. Il promet à
son père "d'écrire seulement soixante-dix-sept haïku par hiver".
La réputation de ses vers parvient jusqu'à la cour. Avant de présenter ses poèmes à l'empereur, il doit apprendre la couleur afin de teinter ses poèmes, pour l'instant blancs comme la neige.
Le maître Soseki lui apprendra l'art des couleurs mais aussi l'amour, la vie...
Ce livre m'a donné envie de découvrir les haïku, la poésie japonaise.
Les haïku sont définis comme "un petit poème extrêmement bref visant à dire l'évanescence des choses"...
D'autres avis :
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