2 février 2010
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Quatrième de couverture :
Nous sommes le 21 juillet 2006. Il est vingt heures. Je m'appelle Alice Grangé. J'ai trente ans. Gérard Oury est mort hier. Tout cela est certain. Vérifiable. Le réel. Je marche vers un homme que je ne connais pas. Ça encore, le réel. Cet homme a aimé ma mère. Ma mère a aimé cet homme. Je n'en suis déjà plus sûre. Cet homme va me parler de ma mère. Je ne sais pas. Je vais retrouver quelque chose de ma mère. Je ne sais pas. Les choses les plus importantes sont-elles celles que l'on sait, ou celles que l'on cherche? Je m'appelle Alice Grangé. J'ai trente ans. Je cherche ma mère.
Avis d'une lectrice du dimanche :
Un peu déçue...
J'ai beaucoup aimé son autre titre Puisque rien ne dure... Sa sensibilité et son style sobre m'avait nouée d'émotion.
Je n'ai pas retrouvé ces qualités dans Rêves d'amour...
Alice Grangé ne s'est jamais remise de la perte de sa mère à l'âge de 5 ans. Son père, juste avant de mourir, lui livre le nom de l'homme que sa mère a réellement aimé. Rencontrer cet homme devient alors une nécessité pour Alice afin de re-découvrir le portrait de sa mère.
Ici, il n'y a pas la pudeur et le ton juste de Puisque rien ne dure. Alice se lamente pendant toute sa quête. Elle ne grandit pas et reste dans un rôle de petite fille triste...