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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 13:15


Certains livres commencent à manquer de couleur à être toujours coincés dans les rayonnages de ma bibliothèque, ils ont besoin de voir du pays.

Je propose trois livres voyageurs :


Les petites fées de New-York
de Martin Millar












Le petit Malik
de Mabrouck Rachedi











Le soleil des Scorta
de Laurent Gaudé














Si vous souhaitez inviter chez vous un de ces trois romans, n'hésitez pas à vous inscrire !

Si, en plus, chaque lecteur(trice) peut ajouter une dédicace sur l'intérieur de la couverture pour m'indiquer en quelques mots si ces récits vous ont plu, ce sera un livre plein de caractère qui reviendra dans sa bibliothèque...

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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 12:43

Quatrième de couverture :
Le soir de son treizième anniversaire, lors d'une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu'elle ne se mariera jamais et n'aura jamais d'enfants. Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d'années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. A sa grande surprise, Jane s'épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n'a plus qu'une idée en tête : quitter le monde. Alors qu'elle a renoncé à la vie, c'est paradoxalement la disparition d'une jeune fille qui va lui donner la possibilité d'une rédemption. Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu'elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l'ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité...

Avis d'une lectrice du dimanche :

Décidément, je n'accroche plus du tout avec les derniers romans de Douglas Kennedy ! La femme du Vème m'avait déçue, idem pour celui-ci. Pourtant, j'appréciais cet auteur auparavant...

La trame du roman est parfaitement bien résumée dans la quatrième de couverture.
Le problème est que Jane, notre pauvre héroïne, cumule depuis l'enfance  tellement de malheurs, de plus en plus terribles, que ça en devient lassant et peu crédible. Elle est gentille et très intelligente, presque parfaite, et le sort s'acharne sur elle !  Cette redondance et cette exagération m'ont empêchée de vraiment rentrer dans l'histoire. Quand à l'intrigue policière, elle peut difficilement tenir en haleine le lecteur : l'enquête dans laquelle Jane se lance à corps perdu dure à peine une cinquantaine de pages.

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 12:48

Quatrième de couverture :
Dans une Antiquité imaginaire, le vieux Tsongor, roi de Massaba, souverain d’un empire immense, s’apprête à marier sa fille. Mais au jour des fiançailles, un deuxième prétendant surgit. La guerre éclate : c’est Troie assiégée, c’est Thèbes livrée à la haine. Le monarque s’éteint; son plus jeune fils s’en va parcourir le continent pour édifier sept tombeaux à l’image de ce que fut le vénéré – et aussi le haïssable – roi Tsongor.
Roman des origines, récit épique et initiatique, le livre de Laurent Gaudé déploie dans une langue enivrante les étendards de la bravoure, la flamboyante beauté des héros, mais aussi l’insidieuse révélation, en eux, de la défaite. Car en chacun doit s’accomplir, de quelque manière, l’apprentissage de la honte.

Avis d'une lectrice du dimanche :


La Mort du roi Tsongor est un récit digne des tragédies classiques.


Dans une Afrique antique et imaginaire, Le royaume du roi Tsongor est né dans la guerre, les massacres et la haine. Le monarque tout puissant va payer le lourd tribu de cette violence à la veille de sa mort, à l’apogée de sa gloire. Alors qu’il a promis sa fille à Kouame, prince des terres de sel, un deuxième prétendant, Sango Kerim, vient réclamer Samilia, au nom de vieilles promesses d’enfant. Rien ne pourra plus arrêter la guerre, des combats fratricides qui engloutiront presque toute une civilisation.

 

Les thèmes traditionnels des drames grecs sont présents dans ce récit : la démesure et l'orgueil de l'être humain, sa bêtise aussi. Une guerre monstrueuse pour un motif futile : la possession d'une femme. Une femme d’ailleurs uniquement traitée comme un objet de convoitise.

 

J’ai aimé ce roman pour sa construction et sa qualité narrative. Laurent Gaudé a vraiment le ton des grands conteurs.
Toutefois, le livre que j’ai préféré chez cet auteur est Le soleil des Scorta, moins rigide, plus chaleureux et plus optimiste aussi…


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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 12:32

Quatrième de couverture

Sous le soleil écrasant du Sud italien, le sang des Scorta transmet, de père en fils, l'orgueil indomptable, la démence et la rage de vivre de ceux qui, seuls, défient un destin retors. Prs l'auteur de La Mort du roi Tsongor (prix Goncourt des lycéens 2002, prix des Libraires 2003).

Un homme avance sur sa mule dans un paysage pétrifié de chaleur, sous l'implacable soleil des Pouilles, en direction du minuscule village de Montepuccio, où il vient assouvir, au risque d'y perdre la vie, son désir et sa vengeance. Ses fautes de jeunesse - vols, violences, crimes de toutes sortes -, il les a payées de dix-sept ans de prison. Désormais libre, il entend bien, de gré ou de force, faire sienne une femme que dans sa jeunesse il convoitait.
De cette vengeance - on pourrait même dire : de cette scène primitive - va surgir la lignée des Scorta, une famille de "pouilleux" marqués par l'opprobre et la faute originelle, mais qui peu à peu, sur quatre générations, parvient à subsister, à planter ses racines dans un sol fruste, à saisir sa chance, transmettre ses valeurs et s'accorder aux beautés de sa terre natale
L'histoire de la famille Scorta se déroule sur un siècle (1870 à nos jours). Elle prend le double aspect d'un récit "objectif" et linéaire eue viennent scander les soliloques d'un des personnages, Carmela, vieillarde qui, avant de perdre la mémoire, se hâte de confier à l'ancien curé de Montepuccio ce qu'elle n'a pu encore raconter à personne : son voyage à New York avec ses frères, la création du bureau de tabac de Montepuccio, et plus largement sa vision subjective de l'aventure des Scorta.
Car ce roman puissamment sudiste et solaire n'est nullement, au sens où on l'entend couramment, une "saga familiale". Marqué par la force de la parole, par la sincérité des personnages, par l'humilité et l'obstination des gens simples, par la recherche et la connaissance des joies élémentaires, le nouveau livre de Laurent Gaudé entrelace les destins comme les voix d'un hymne étincelant d'humanisme.

 

 

Avis d’une lectrice du dimanche


Quelle belle fresque familiale !


La terre de la région des Pouilles a modelé à son image quelques générations d’êtres rudes, sauvages, gorgés de soleil et parfois écrasés par l’aridité du sud de l’Italie.

La lignée des Scorta est née dans la violence et la misère dans un petit village Montepuccio. Luciano Mascalzone et surtout son fils Rocco Scorta-Mascalzone sèment terreur et désolation sur leur passage. Avant sa mort, Rocco souhaite lever la malédiction qui pèse sur la lignée des Scorta en offrant à l’église sa fortune faite de rapines. Il laisse sa femme et ses enfants dans le dénuement matériel mais avec la chance d’écrire leur destin. La mère, usée par la rudesse de la vie, s’éteint rapidement.

Les trois enfants, Domenico, Giuseppe et Carmela, vont agrandir leur fratrie en y intégrant leur meilleur ami, Raffaele. Ils font un pacte : être solidaires et transmettre à leurs descendants leur plus grande richesse, c’est à dire leur histoire, leurs connaissances et expériences. Leur défi sera bien sûr de mettre leurs enfants à l’abri du besoin mais surtout de leur dresser une sorte de bilan à la fin de leur vie : qu’ont-ils appris ? Quels sont les plus grands moments de bonheurs qui ont fait le sel de leur existence ?

« Promettez-moi que chacun d’entre vous racontera une chose à mes enfants. Une chose qu’il a apprise. Un souvenir. Un savoir. Faisons cela entre nous. D’oncles à neveux. De tantes à nièces. Un secret que vous avez gardé pour vous et que vous ne direz à personne d’autre. Sans quoi nos enfants resteront des Montepucciens comme les autres. Ignorants du monde. Ne connaissant que le silence et la chaleur du soleil. »

 

Les personnages sont superbes, très attachants. Leur faible niveau culture dû à la pauvreté est largement compensé par le fait qu’ils essaient en permanence de trouver ce qui donne un sens à notre vie.

 

Les descriptions des paysages et des traditions du sud de l’Italie sont également un vrai bonheur :

   

« La chaleur du soleil semblait fendre la terre. Pas un souffle de vent ne faisait frémir les oliviers. Tout était immobile. Le parfum des collines s’était évanoui. La pierre gémissait de chaleur. Le mois d’août pesait sur le massif du Gargano avec l’assurance d’un seigneur. »

 

« C’est de l’or, disait l’oncle. Ceux qui disent que nous sommes pauvres n’ont jamais mangé un bout de pain baigné de l’huile de chez nous. C’est comme de croquer dans les collines d’ici. Ca sent la pierre et le soleil. Elle scintille. Elle est belle, épaisse, onctueuse. L’huile d’olive, c’est le sang de notre terre. Et ceux qui nous traitent de culs-terreux n’ont qu’à regarder le sang qui coule en nous. »

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 12:29

Biographie

 

Né le 6 juillet 1972 à Paris, Laurent Gaudé, est un écrivain français. Il met un point final à ses études en Lettres Modernes avec une thèse sur l’art théâtral. Il commence sa carrière d’écrivain par des pièces de théâtre, mais ce sont ses romans qui le révèleront au public. Sa première pièce, Combat de possédés, paraît en 1999. Elle sera jouée en Allemagne et lue au Royal National Théâtre de Londres.

Son premier roman, Cris, paraît en 2001 chez Actes Sud. Son deuxième roman, en 2002, la mort du roi Tsongor, sera récompensé par Prix Goncourt des lycéens et Prix des Libraires. Son succès sera confirmé par son troisième roman, Le soleil des Scorta, véritablement plébiscité : Prix Goncourt 2004 et Prix Jean Giono 2004.

 

Bibliographie

 

Romans

  • Cris, Actes Sud,2001
  • La Mort du roi Tsongor, Actes Sud, 2002, Prix Goncourt des lycéens 2002 et Prix des Libraires 2003
  • Le Soleil des Scorta, Actes Sud, 2004, Prix Goncourt 2004 et Prix Jean Giono 2004
  • Eldorado, Actes Sud, 2006
  • La Porte des Enfers, Actes Sud, 2008

 Théâtre

  • Combats de possédés,Actes Sud, 1999
  • Onysos le furieux, Actes Sud, 2000
  • Pluie de cendres, Actes Sud, 2001
  • Cendres sur les mains, Actes Sud, 2002
  • Le Tigre bleu de l'Euphrate, Actes Sud, 2002
  • Salina, Actes Sud, 2003
  • Médée Kali, Actes Sud, 2003
  • Les Sacrifiées, Actes Sud, 2004
  • Sofia Douleur, Actes Sud, 2008
  • Sodome, ma douce, Actes Sud, 2009

Nouvelles  

  • Dans la nuit Mozambique, 2007
  • Sang négrier

 

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 12:51

Quatrième de couverture

" Le récit des Petites fées de New York démarre avec Morag et Heather, deux petites fées hautes de cinquante centimètres, portant épée, kilt vert et cheveux mal teints, qui volettent par la fenêtre du pire violoniste de New York, un type antisocial et obèse nommé Dinnie, et vomissent sur sa moquette. Qui sont-elles et comment sont-elles arrivées à New York, et en quoi tout cela concerne-t-il l'adorable Kerry, qui vit dans l'immeuble d'en face, est atteinte de la maladie de Crohn et confectionne un alphabet des fleurs, et en quoi tout cela concerne-t-il les autres fées (de toutes nationalités) de New York, sans oublier les pauvres fées opprimées de Grande-Bretagne, voilà le sujet du livre. Il contient une guerre, ainsi qu'une mise en scène fort inhabituelle du Songe d'une Nuit d'Eté de Shakespeare, et des solos de guitare de Johnny Thunders des New York Dolls. Que peut-on demander de plus à un livre ? " Neil Gaiman.

 

Avis d’une lectrice du dimanche


Un livre déconcertant, un joyeux délire.

Martin Millar nous offre un conte pétillant et décalé pour réfléchir aux choses essentielles de la vie.

 

Vous l’ignoriez peut-être mais nous côtoyons le monde des petites fées. Seuls quelques humains ont le privilège de les voir. Dans l’ensemble ces petites personnes sont censées être de gentilles créatures dont les activités principales sont de s’amuser, faire de la musique, picoler et s‘envoyer en l‘air. Mais en y regardant de plus près, certaines de ces personnalités s’avèrent être belliqueuses, le trou de l’ozone a même affecté dramatiquement quelques individus. Tala par exemple, le roi des fées anglaises, a asservi ses sujets et lance une guerre sans merci contre les autres peuplades pour imposer sa conception de l’existence : ces petits êtres fantastiques doivent désormais travailler dur et produire des richesses ! La révolte gronde et certains fuient le tyran.

Des rebelles d’origines différentes se perdent dans New-York.
Deux d‘entre elles, Morag MacPherson et Heather MacKintosh ont été chassées de leurs clans écossais pour avoir joué du punk subversif. Elles se mêlent de la vie des humains qu’elles rencontrent, pour le meilleur et pour le pire. A la fois teignes et facétieuses, leur don essentiel semble être de semer une pagaille indescriptible à l’échelle cosmique. Entre maladresses, beuveries mal contrôlées, cambriolages de banques et vols à l’étalage, elles provoquent des bagarres de rue mémorables entre groupes de fées rivales.

Deux humains se retrouvent au cœur des entreprises fantasques des deux écossaises : Dinnie, violoniste raté et anti-social, et Kerry, la jeune beauté gravement malade.

D’autres personnages tout aussi déjantés gravitent dans le tourbillon effréné de ce conte : artistes méconnus, clochards, Magenta la mendiante guerrière, le fantôme de Johnny Thunders…


Derrière les pitreries de ce conte urbain, apparaissent des thèmes tels que la solitude, l’amitié, la peur de la mort et le besoin de reconnaissance… Sentiments ressentis par tout être vivant, humain ou fée.


Elles l'ont lu, voici leurs avis : Cathulu, chiffonnette, Biblioblog, A livre ouvert   

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 12:45
 Biographie

Martin Millar est né à Glasgow, en Écosse, et vit à Londres.

Sous le pseudonyme de Martin Scott, il est aussi l’auteur de la série de science-fiction Thraxas, traduite dans le monde entier, et qui a remporté en 2000 le World Fantasy Award dans la catégorie « roman ».
Après Le Lait, les amphètes et Alby la famine, paru chez Actes Sud en 1993, Les petites fées de New-York est le deuxième roman de Martin Millar à être traduit en français.

 

Visitez son blog : http://martin-millar.blogspot.com/
Vous y découvrirez à la fois son actualité littéraire.

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 21:17


Quatrième de couverture
Ce qu'ils mettent au dos des romans, je vais vous dire, c'est à se demander si c'est vraiment écrit pour vous donner l'envie. En tout cas, c'est sûr, c'est pas fait pour les gens comme moi. Que des mots à coucher dehors - inéluctable, quête fertile, admirable concision, roman polyphonique... - et pas un seul bouquin où je trouve écrit simplement : c'est une histoire qui parle d'aventures ou d'amour - ou d'Indiens. Et point barre, c'est tout.

Avis d’une lectrice du dimanche
Un de mes coups de cœur !
A 45 ans, Germain Chazes est considéré comme un gars gentil mais imbécile. Il n’a eu aucune carte pour démarrer correctement dans la vie. Il représente uniquement un accident malencontreux pour sa mère, femme acariâtre et hostile. Dans une petite école à classe unique, il a dû supporter le même maître durant toute sa scolarité en primaire. De brimades en humiliations, Germain a très vite souhaité abréger son séjour dans l’éducation nationale. Son statut d’idiot sera entériné à l’armée : analphabète… Sa vie est terne, entre quelques heures de boulot par ci par là, beaucoup de temps passé au bistrot avec ses copains de comptoir… L’amitié aussi improbable que pudique avec Margueritte, petite bonne femme de 84 ans, va changer sa vie. Pour la première fois, Germain ne se heurte pas à un jugement méprisant, et partage avec Margueritte sa passion, le comptage des pigeons dans les parcs… Elle, de son côté, va lui offrir un présent inestimable : l’amour des livres.
La découverte du sens des mots, la maîtrise du langage et par la même occasion la maîtrise de sa pensée, le ramèneront vers une existence digne et humaine.

Le récit m’a ravie grâce son ton léger où l’humour est toujours présent. Le narrateur est Germain lui-même, avec son langage cru, son esprit malgré tout très logique, ce qui nous vaut des expressions et diverses réflexions savoureuses !

Petite Fleur m’a fait découvrir ce livre grâce à un avis également très enthousiaste !

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 21:16
Biographie
Née en 1957 à Bordeaux, Marie-Sabine Roger vit dans le Sud de la France avec ses trois enfants. Elle embrasse le métier d’enseignante en maternelle pendant 10 ans, avant d’arrêter sa carrière pour se consacrer entièrement à l’écriture. Elle rencontre régulièrement enfants, adolescents et adultes dans les primaires, collèges, bibliothèques et IUFM.
Elle a publié de très nombreux ouvrages, certains primés, en édition jeunesse.

Bibliographie
  • Le ciel est immense - 2002
  • La théorie du chien perché 2003
  • Un simple viol - 2004
  • Le château de Pierre suivi de Les chants de Lila, 2005
  • A quoi tu joues, 2009
  • Le Vieil ogre, 2008
  • La Souris des dents, 2008
  • Comment se débarrasser de ses voisins, 2008, réédition
  • La Tête en friche, 2008
  • Les Sages Apalants, 2008
  • Et tu te soumettras à la loi de ton père 2008
  • Attention fragiles, 2007, réédition
  • Le Soleil au plus près, 2007
  • La Trilogie de Dakil, 2007
  • L'Arbre à Kadabras, 2007
  • Les Encombrants, 2007
  • Sauve-toi, sauve-nous ! 2007, réédition
Albums et roman jeunesse :
  • Bleu Silence - 2001
  • Tanguy l'Azur - 2002
  • Le petit peuple du manège - 2003
  • Le petit roi de Rêvolie - 2004
  • L'arbre Sorcier - 2004
  • A la vie, à la... - 1998
  • Attention Fragiles - 2000
  • La saison des singes - 2002
  • La moitié gauche de la lune - 2002
  • Le quatrième soupirail - 2004

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 21:15


Certains blogueurs m'ont gentiment rappelée à l'ordre :
Comment ? Pas une seule photo, pas un seul commentaire sur les vacances ?  

Cet été, je n'ai pas visité d'extraordinaires et lointaines contrées ! Depuis plusieurs années, je délaisse mon milieu préféré, la montagne, pour me replier sur la mer, pour le plus grand bonheur des enfants...
Dès que j'aurai trouvé le temps, je ferai un peu de tri pour publier des photos sur mes trois premières semaines en Bretagne (les origines de ma moitié) et de la quatrième semaine à Roquebrune Cap Martin.
D'ailleurs, dans mes bonnes résolutions de la rentrée figure celle de créer des albums sur ce blog pour l'ensemble de mes voyages  :
  • un trekking dans le haut atlas marocain (1998) : si les photos ne sont pas trop moches car je n'avais encore que des appareils jetables...
  • Bolivie et Chili (1999)
  • Afrique du Sud et Namibie (2000)
  • Londres (si je retrouve les photos...)
  • Guadeloupe et Les Saintes (2001)
  • Andalousie (2007 et 2008)
Retrouver tous les noms des sites sera facile car j'ai l'habitude de tenir des carnets de voyage mais il faut scanner de nombreuses photos lorsque c'était de l'argentique et ensuite, à partir de 2002, trier les trop nombreuses photos numériques...



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