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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 00:05

Ecosse-4921.JPG 

Vacances de Pâques 2011 :
Deux semaines éblouissantes en Ecosse !


Je m'attendais à un climat maussade et je m'étais conditionnée pour supporter des conditions climatiques humides. En fait, il a plu la première heure de notre arrivée à Edimbourg, et puis ensuite un soleil radieux nous a accompagné sans faille jusqu'à l'avant-dernier jour de notre séjour...

Les paysages Ecossais, vraiment sublimes, sont dépaysants surtout à l'ouest et au nord du pays. La location d'un camping car nous a permis de découvrir de nombreux sites et de nous balader au gré de nos envies.

L'Ecosse est riche d'un patrimoine naturel exceptionnel, et de beaux châteaux chargés d'histoire. Les différents sites se découvrent avec des randonnées et  aussi des balades en bateau. La faune est importante : la population de moutons, cerfs, biches et oiseaux de mer est beaucoup plus dense que celle des Ecossais !  

Dès que j'aurai trié nos prises de vues, je diffuserai des photos d'Edimbourg, Glencoe, Fort William, le Ben Nevis, Le château d'Eilean Donan, les îles de Skye, Harris et Lewis, Handa Island (l'île aux oiseaux), et puis également Durness, les lochs Tongue et Eriboll, Helmsdale, Le Loch Ness, Glen Affric, St Andrews...

 

La carte ci-dessous indique notre périple, les petits ballons montrent les haltes chaque nuit...

Carte voyage Ecosse

 

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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 07:00

Eilean-Donan.jpg

 

Ca y est, samedi 23 avril à 6h00 du matin,
l'avion décollera (enfin !) pour emporter toute ma petite famille en Ecosse !


Pendant 15 jours, nous allons essayer de découvrir 
Edimbourg, les Highlands, l'île de Skye, les îles de Lewis et Harris,
et les Orcades si nous avons le temps...

 

Mon blog est plus ou moins en friche depuis déjà deux mois (version optimiste : en jachère...) par manque de courage pour rédiger mes billets de lecture.

J'espère que cette évasion au milieu des montagnes et des plages écossaises me donnera un regain d'énergie pour participer de nouveau à la blogosphère !

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 13:15

Alice-KAHN---Pauline-Klein.jpg

 

Quatrième de couverture

... mais je dépose des traces de ma présence.
                                            Pauline Klein

 

Avis d'une lectrice du dimanche

Un premier roman original, léger, très agréable à lire !

Une jeune femme, suite à une méprise sur la terrasse d’un café, usurpe l’identité de Anna. William Stein, photographe reconnu, se laisse abuser par ce caméléon inattendu.

La narratrice a visiblement l’habitude de se fondre dans la peau d’inconnus. Elle a même le talent de créer des personnages imaginaires, comme Alice Kahn, jeune artiste entièrement née de son imagination.

L’héroïne de ce roman est atypique, insaisissable. Son vécu affectif la pousse à tenter de s’effacer pour disparaître, aucun miroir ne lui rappelle sa véritable identité dans son appartement impersonnel. Elle sait passer inaperçue pour mieux ressurgir dans des métiers qui ne sont pas les siens, dans des silhouettes dessinées avec intelligence, des caractères inventés de toutes pièces.

On ne voit au début qu’une femme perturbée et manipulatrice. Mais finalement, n’est-ce pas elle la véritable artiste dans ce milieu superficiel et factice ? Elle a l’œil acéré du photographe, la créativité et l’intelligence du peintre. La narratrice crée un monde parallèle en vraie virtuose…

 

Un grand merci à Mirontaine pour ce livre voyageur !

 

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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 07:00

Double-bonheur---Stephane-Fiere.jpg 

Quatrième de couverture

Peut-on changer d'identité en même temps que de pays? Quand il se retrouve à Shanghai François Lizeaux a 24 ans et des rêves plein la tête. Fort de sa seule connaissance de la langue chinoise, il arrive dans un monde dont il a beaucoup rêvé, mais dont il ne sait à peu près rien. Qu'importe! le jeune homme a bien l'intention de se faire une place au sein de cette ville gargantuesque et fébrile, où il se sent étrangement chez lui. Au consulat de France, où il exerce la fonction d'interprète, sa bonne volonté lui vaut pourtant très vite quelques déconvenues. Taillable et corvéable à merci, il découvre, au fil de ses missions, l'univers sans gloire des expatriés. Peu à peu, l'écart se creuse avec ses compatriotes. Si bien que l'interprète, qui s'est familiarisé avec les modes de vie locaux, se rapproche insensiblement de ses interlocuteurs chinois. Ingénu et roublard, il va se lancer dans des activités louches mais lucratives qui ne tarderont pas à le dépasser. Jusqu'au jour où son amour pour la belle An Lili le fera basculer du côté chinois, du moins le croira-t-il. Car il n'est pas si facile de se défaire de ses origines, pas plus qu'il n'est aisé de se fondre dans la culture de l'autre, au risque de se perdre. Un grand danger dont le héros de cette histoire à la fois cocasse, cruelle et troublante fera les frais.

Inventif, plein d'ironie, le style de Stéphane Fière rend compte avec brio des métamorphoses de son personnage. Son récit tour à tour drôle et féroce, nous entraîne dans une Chine parfaitement vraisemblable, où se joue un épisode de la mondialisation.

 

Avis d'une lectrice du dimanche

 

Un grand merci à Keisha pour ce livre voyageur très particulier !

 

Une lecture difficile pour moi, à cause de l’écriture à laquelle je n’ai pas du tout accroché. C’est une plume qui m’a définitivement déplu, je le crains ! Après avoir bataillé page après page, je suis néanmoins allée jusqu’au bout de ce livre, en un temps record d’une quinzaine de jours (ouf !). Je n’avais jamais passé autant de temps sur un roman ! Je ne le regrette pas car le point de vue de l’auteur sur le Chine et le monde consulaire est vraiment intéressant, l’histoire originale.

 

François Lizieux obtient son premier poste de traducteur à Shangaï, au consulat français. La personnalité de cet homme de 25 ans est un mélange de candeur et d’ambition. Sa jeunesse le rend boulimique de vie, de plaisirs faciles et de rêves d’avenir. Ses débuts dans cette société particulière sont laborieux car il est exploité sans vergogne par ses patrons du consulat, il se fait systématiquement escroquer par les chinois dans chaque démarche de la vie courante, dans chaque fête aussi.

Ses fantasmes sur la Chine ne sont pas atténués par toutes ces déconvenues ! Ecoeuré par les mesquineries des expatriés français, François Lizieux se sent de plus en plus proche des habitants de Shangaï, son cœur est tourné vers la Chine.

Avec l’illusion de s’intégrer dans ce pays tellement différent et étrange, François Lizieux se laisse griser par la sensation d’être indispensable grâce à sa maîtrise du mandarin. Il dérape peu à peu dans les négociations en donnant l’avantage aux industriels chinois.

François tombe éperdument amoureux d’An-Lili, il épouse à la fois sa belle et la société chinoise. Les valeurs en vogue à Shangaï deviennent siennes : cupidité, course effrénée pour l’argent, petites combines. Des situations inextricables sont inévitables lorsqu’il cède aux sirènes des services secrets chinois.

 

Finalement, il n’est pas aisé de choisir soi-même son identité, son pays. Nos déterminismes sont bien ancrés par notre éducation, notre cadre de vie, et vouloir se débarrasser brutalement de tout son passé est une illusion.

  

 

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 18:01

Le sang des pierres - Johan Theorin

 

Quatrième de couverture

Avec L’Heure trouble et L’Écho des morts, Johan Theorin s’est imposé comme un des maîtres du polar scandinave. Il revient ici sur son territoire de prédilection, l’île d’Öland, avec un suspense virtuose.

À la fonte des neiges, les gens du continent réinvestissent l’île. Peter Mörner s’est installé dans une vieille maison dont il a hérité pour trouver la paix, loin de son père. De sa villa flambant neuve, Vendela Larsson regarde cette lande dont elle connaît tous les secrets. Quant à Gerloff, vieux loup de mer de 85 ans, il a voulu revoir, peut-être pour la dernière fois, le soleil de son enfance… Mais pour eux, le printemps ne sera pas comme les autres. La mort rôde en cette nuit de Walpurgis qui célèbre traditionnellement la fin de l’hiver, et les drames du passé, dont témoigne la couleur rouge sang de la falaise entre la carrière et la lande, resurgissent…

 

Avis d’une lectrice du dimanche

Encore une fois, Johan Theorin nous offre un beau moment de lecture !
Certes, ce n’est pas un thriller haletant, aux enchaînements d’actions rapides, mais l’intensité est néanmoins très forte. Tout est dans l'atmosphère...

 

Johan Theorin nous avait déjà fait partager la rigueur de l’hiver suédois sur l’île d’Öland, en Suède, avec ses deux précédents romans : L’heure trouble et l’écho des morts. L’intrigue se déroule toujours dans son site de prédilection mais cette fois, cela se passe au printemps. La nature sort de sa torpeur et avec elle les instincts parfois redoutables des êtres humains !

 

L’île d’Öland se peuple peu à peu avec l’arrivée de la belle saison : Peter avec ses enfants et son père, mais aussi le vieux Gerloff, Vendela et Max. Ces personnages ne se connaissaient pas auparavant et se découvrent voisins. Ils vont réaliser à leurs dépens que leur jeunesse sur cette île a tissé un faisceau d’événements les reliant entre eux. Leurs racines les attirent dans cette nature magnifique et sauvage, mais leur passé va leur sauter au visage.

 

Peter essaie de comprendre qui veut s’en prendre à son père, fortement diminué par une attaque. Ce dernier a vécu une existence glauque et mouvementée en faisant fortune dans l’industrie du porno. Peter s’improvise en enquêteur pugnace et attachant, bien que fragile, peu taillé pour ce costume !

 

Les protagonistes ne sont finalement pas exactement ce qu’ils paraissent être au départ. La richesse de leur personnalité, pleine de cicatrices, s’épanouit dans ces paysages rudes et imprégnés de légendes ancestrales. Ils essaient tous de guérir de leurs souvenirs. Un profond sentiment de solitude émane de cette terre isolée, dans laquelle vivaient elfes et trolls dans des temps lointains…


 

Mille fois merci à Carol, des éditions Albin Michel

Logo Albin Michel copie

 

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 19:20

anniversaire gateau 2

 

Deux ans déjà !

A l'occasion de ce petit anniversaire, c'est l'heure du bilan...Enfin pas un bilan chiffré car les calculs et moi, ça fait deux !

Mes billets sont un peu plus espacés, surtout en ce moment, car je ne parviens pas à trouver le temps de rédiger mes fiches de lecture. Je cumule sans doute trop d'activités en plus de mon travail. Mes filles grandissent et sont de plus en plus réceptives à toutes les découvertes possible. En plus, pour couronner le tout, j'ai renoué depuis quelques mois avec l'addiction du sport...

Pourtant les livres restent toujours une passion essentielle ! C'est grâce à vos partages sur les blogs que je découvre des titres alléchants pour de très belles lectures. Alors même si le temps me fait un peu défaut, je ne suis pas prête à abandonner l'univers bloguesque ! 

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 13:30

Le roman de Saint Pétersbourg - Vladimir FedorovskiQuatrième de couverture 

À l'occasion du tricentenaire de Saint-Pétersbourg, Vladimir Fédorovski met en scène les grands moments de l'histoire sentimentale de cette ville insolite créée par la seule volonté de Pierre le Grand au bord de la Neva. Pierre Ier et son impératrice paysanne, Catherine II et son vigoureux compagnon le prince Potemkine, Alexandre Ier et son égérie occulte, mais aussi les grands artistes et hommes de lettres russes et occidentaux (Pouchkine, Dostoïevski, les poètes du siècle d'Argent, le Chevalier d'Éon, le marquis de Custine, Balzac) sont les personnages de ce roman vrai qui nous convie à une promenade romantique dans la Venise du Nord. Une traversée étonnante dans le temps et l'espace, dans les palais étincelants de Saint-Pétersbourg d'hier et les rues sinueuses de Leningrad, sur les traces des hommes et des femmes qui y ont connu le coup de foudre. Cet ouvrage s'appuie sur des archives tirées des fonds confidentiels récemment rendus accessibles en Russie et sur des témoignages inédits. Des pages marquées par le mystère, l'évasion, l'aventure et le défi.

 

Avis d'une lectrice du dimanche

Je formule une mise en garde concernant ce beau livre :
lorsque vous le refermerez, vous brûlerez du désir de voyager à Saint Pétersbourg, et cette envie ne vous quittera peut-être plus !

 

Vladimir Fédorovski nous entraîne dans une balade romantique au coeur de Saint Pétersbourg, dans l'âme de cette ville au passé prestigieux. Les fantômes égoïstes et cruels des tsars puis des  bolcheviks sont perceptibles dans les murs des monuments. Saint-Pétersbourg a vécu plusieurs siècles de soubresauts politiques, d'alliances diverses avec les Européens et d'une importante attirance pour la France.

 

L'auteur évoque la naissance de ce haut lieu de la Russie, sa construction et son évolution.

 "La plupart des immeubles furent élevés sur pilotis. Pour assécher les marécages, on creusa des canaux qui partaient du fleuve et y retournaient. Quarante mille ouvriers furent employés de force à cette tâche surhumaine. L'encombrement des travailleurs était tel, qu'ils manquaient de logement et de nourriture. Les moins robustes mouraient, faute de soins. D'autres arrivaient par convois, des confins de l'Europe."

 

Il dresse le portrait des grandes personnalités politiques qui ont favorisé l'essor de Saint-Pétersbourg, l'ont conduite vers la lumière et parfois l'ont cruellement malmenée. Saint-Pétersbourg est prisée par la noblesse bien sûr, mais également adorée par de grands auteurs russes, de nombreux courants littéraires et intellectuels ont vu le jour dans cette cité.

 

Vladimir Fédorovski a le don de faire revivre des noms mythiques !
Il passe en revue Pierre 1er, fondateur de Saint-Pétersbourg, et puis Catherine, son épouse paysanne à qui la vie n'a pas toujours souri.

"Tirant un carnet de sa poche, Pierre nota tout ce qu'il voyait. L'Amirauté organisa, en son honneur, une bataille navale, près de l'île de Wight. Heureux comme un enfant, me tsar voulut charger lui-même les canons du vaisseau sur lequel il se trouvait. Lorsque l'amiral commandant la flotte vint lui dire qu'il pouvait faire ce qu'il voulait, Pierre lui sauta au cou et l'embrassa si fort qu'il lui cassa deux côtes ! L'amiral dut s'aliter et n'oublia jamais l'étreinte de "l'Ours russe". Pierre, lui, n'oublia jamais la puissance de la flotte britannique."

 

L'auteur s'étend longuement sur la personnalité incroyable de Catherine II et son amour fou pour Grigori Potemkine. Ce couple renforça l'aura de la Russie en général et de Saint-Pétersbourg en particulier. Fédorovski nous parle aussi  d'Alexandre 1er, vainqueur de Napoléon...

 

Ses descriptions les plus passionnées sont celles des grands écrivains qui ont hanté la petite Venise du nord : Alexandre Pouchkine, Fédor Dostoïevski, Ivan Tourgueniev... Fin du XIX et début du XXième, une génération prestigieuse d'esprits brillants illuminèrent la ville.

"Cette époque incertaine donna une pléiade de grands écrivains et d'artistes : Nina Berberova, Mérejkovski, Zénaïda Hippius, Blok, anna Akhmatova, Benois, Chagall, Chaliapine, Meyerhold, Diaghilev... Ces figures mythiques de Saint-Pétersbourg furent les fleurons de cette ère brillante (1895-1915) baptisée par le philosophe Berdiaev "âge d'argent". Ces poètes et écrivains partageaient les mêmes thèmes : le sentiment d ela crise et l'attente mystique."

 

Cet essai n'est pas un guide touristique, ni un manuel d'histoire et encore moins un catalogue littéraire. Fédorovski pose des repères, des pépites, pour nous donner envie de découvrir à la fois cette ville et les grands artistes russes...

 

 

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 19:00

La petite sorciere - Benjamin Lacombe

 

Chaque fois que je plonge dans l’univers onirique de Benjamin Lacombe, ce sont toujours les mêmes adjectifs dithyrambiques qui reviennent.
Je me répète à l’infini : ces albums sont sublimes !
Tout est beau : les textes et les illustrations !
C’est émouvant, tendre, humoristique, poétique, mystérieux…

 

Encore une fois, Benjamin Lacombe nous livre le portrait d’une petite fille marquée par la différence. Lisbeth a la fâcheuse habitude de finir systématiquement les phrases de ses interlocuteurs. Elle est incomprise de ses parents, de ses camarades d’école et même des enseignants. Malgré tout elle n’est pas seule car elle ne se sépare jamais de son chat, Socrat. Elle a également noué une tendre complicité avec Edward, petit amoureux transi et bégayant. Et enfin, Olga, sa grand-mère, la comprend vraiment et la soutient en toutes circonstances.

Comme chaque année, Lisbeth va passer les vacances de Noël chez sa grand-mère. Pourtant cette fois tout sera différent car la fillette découvre un livre mystérieux dans le grenier. Et pas n’importe quel livre ! Il s’agit ni plus ni moins d’un grimoire retraçant toute la lignée de sorcières dont sa grand-mère et elle-même sont les descendantes…

Benjamin Lacombe en profite pour dresser un arbre généalogique avec des clins d'oeils à quelques femmes célèbres, réelles ou mythiques, qui ont marqué l'histoire.

 

La petite sorciere - photo 3

 

La petite sorciere - photo 4

 

La petite sorciere - photo genealogie 

 

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 00:10

 Cerise Griotte Benjamin Lacombe

 

Album magnifique !

Des dessins superbes accompagnés de textes pleins de poésie et d’humour,
nous parlent de différence, de solitude, d’amitié…

 

Cerise vit toute seule avec son père. Cette petite fille toute ronde, solitaire et rêveuse, fuit la compagnie humaine, affirme sa passion pour le chocolat et le gorgonzola et puise son réconfort dans la douceur de livres.

 

Son père ramène régulièrement des chiens dans son fourgon pour les recueillir à la fourrière jusqu’à ce que leur propriétaire les réclame. Cerise a le coup de foudre pour un animal, lui aussi différent de ses congénères. Dès lors, la fillette a une obsession : ne plus jamais se séparer de son seul ami, éviter à tout prix de rendre ce chien à ses maîtres…

 

J’avais déjà complètement craqué pour La mélodie des tuyaux.
Maintenant, j’ai une certitude, je lirai peu à peu tous les livres de Benjamin Lacombe !

Cet auteur et illustrateur s'adresse autant aux enfants qu'aux adulte...

 

Cerise Griotte photo -1 

 

Cerise Griotte photo -2 

 

Cerise Griotte photo -3 

 

Cerise Griotte photo -4 

 

 

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 13:00

 

LOGO Les citations du jeudi

 

"La seule différence entre la lutte contre le terrorisme et une tragédie grecque, c'est l'absence presque totale de Grecs. Pour le reste, c'est à peu près pareil, une histoire de passions humaines, d'amour, de haine, de révolte, d'héroïsme, de bassesse, d'ambition, de traîtrise, de pleurs, de volonté divine... Pour pallier l'aspect déprimant du classicisme d'Eschyle et de Sophocle, des auteurs plus récents ont inventé la tragi-comédie. L'antiterrorisme est parfois aussi de cette veine-là."  

                                             Marc Trévidic (Au coeur de l'antiterrorisme)

 

 

Vous retrouverez tous les participants
à la citation du jeudi sur le blog de Chiffonnette
 

 

 

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